Without notice, here, at least; I didn't see any headlines or photographs when I made the cursory round of the headlines this morning-- the media seemed to be still fussing about Mr Lloyd or the plague or whatnot.
I'm sure that the anniversary wasn't forgotten; there was in any event a post at Le Salon Beige featuring Jean-Pax Méfret's song Jour J, which I'll put infra with its lyrics. Méfret is a journalist and a singer-- not a combination one sees so very often-- although at 76 I think he is not so active in public anymore.
He was born in Algiers and is associated with the French-Algerian population for whom it was necessary to return to France after Algeria had its independence: in any case, a man of the Right, in broad terms, although not one whose experience of French 'republican' politicians has been very satisfying, and hence not a darling of the major media outlets. I imagine that you have to be French and of a certain age to truly appreciate his work but Jour J seems a fitting song for the day. Sainte-Mère-l'Église is, for those not up on their invasion of Normandy facts, a community there through which many of the invading liberators passed not unopposed, not repeated references to Holy Mother Church. As sung, he's got the position of the names of Kentucky and Tennessee mixed up, I believe. So far as I know Julien, Marie-Martine, and old grandma Louise are simply 'typical' villagers.
Au grand matin
du mois de juin,
Julien préparait le troupeau.
Dans la cuisine,
Marie-Martine
Venait d'allumer les fourneaux.
La vieille Louise
Était assise.
Elle réchauffait ses pauvres mains,
Lorsque dans Sainte Mère l'Église
Sont entrés les Américains
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportient un air de liberté.
Ils venaient de Virginie,
D'Oklahoma, du Tennessee,
Le jour le plus long les attendait ici.
Les Écossais
Se distinguaient,
Marchant au son des cornemuses.
Dans les marais,
Les SAS anglais
Progressaient souvent par la ruse
Et les balises,
Dans la nuit grise,
Regroupaient tous les canadiens.
Tandis qu'à Sainte Mère l'Église,
Avançaient les Américains.
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Georgie,
De l'Iowa, du Kentucky,
Le jour le plus long les attendait ici.
Soldats des Armées Alliées,
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie, se levait le "Jour J".
La vieille Louise
Était assise.
Elle réchauffait ses pauvres mains,
Lorsque dans Saint Mère l'Église
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Soldats des Armées Alliées,
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie,
Faut jamais oublier
Qu'un jour à Sainte Mère l'Église
Sont entrés les Américains.
du mois de juin,
Julien préparait le troupeau.
Dans la cuisine,
Marie-Martine
Venait d'allumer les fourneaux.
La vieille Louise
Était assise.
Elle réchauffait ses pauvres mains,
Lorsque dans Sainte Mère l'Église
Sont entrés les Américains
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportient un air de liberté.
Ils venaient de Virginie,
D'Oklahoma, du Tennessee,
Le jour le plus long les attendait ici.
Les Écossais
Se distinguaient,
Marchant au son des cornemuses.
Dans les marais,
Les SAS anglais
Progressaient souvent par la ruse
Et les balises,
Dans la nuit grise,
Regroupaient tous les canadiens.
Tandis qu'à Sainte Mère l'Église,
Avançaient les Américains.
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Ils venaient de Georgie,
De l'Iowa, du Kentucky,
Le jour le plus long les attendait ici.
Soldats des Armées Alliées,
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie, se levait le "Jour J".
La vieille Louise
Était assise.
Elle réchauffait ses pauvres mains,
Lorsque dans Saint Mère l'Église
Sont entrés les Américains.
Ils sont tombés du ciel,
Comme s'ils avaient des ailes,
Ils apportaient un air de liberté.
Soldats des Armées Alliées,
Tous unis pour nous délivrer.
Sur la Normandie,
Faut jamais oublier
Qu'un jour à Sainte Mère l'Église
Sont entrés les Américains.
Requiem aeternam dona eis, Domine, et lux perpetua luceat eis. Requiescant in pace. Amen.
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